[SPORT – GYMNASTIQUE] : Voyage au cœur d’une passion

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Les Jeux Olympiques de Rio arrivent à grand pas. Aujourd’hui, focus sur une jeune gymnaste. Melina Hamames-Moallic n’a pas encore 17 ans mais pourtant déjà derrière elle un joli parcours sportif dont elle peut être fière.

Cette gymnaste Toulonnaise a accepté de revenir sur son aventure depuis ses débuts : « J’ai commencé la gymnastique à l’âge de 3 ans à la Pro Patria dans la fédération FSGT dans un groupe de baby gym cela m’a plu donc j’ai continué, je suis passée ensuite par les débutants avant d’intégrer un groupe compétition. J’ai rejoint par la suite au Nouveau Club en FFG qui est l’ASCM Toulon où en août 2010 j’intègre le système sport étude. Je suis passée de même pas 10h/semaine à plus de 25h. »

Derrière elle, elle garde de très bon souvenirs avec notamment ses participations aux Championnats Nationaux mais plus particulièrement « je dirais que mon meilleur souvenir reste le Championnat de France en 2014 à Rennes! J’avais raté la qualification au mois de mars, j’étais super déçue c’était un gros coup dur et j’avais eu du mal à le digérer car ce Championnat de France en Bretagne me tenait beaucoup à cœur! C’était chez moi dans ma région familiale. Mais 1 semaine avant la compétition à un moment où je n’y croyais plus on m’annonce qu’une concurrente est forfait et que je rentre à sa place! Je n’y croyais pas! J’avais pleuré de joie le bonheur d’y participer était encore plus fort! Ma famille bretonne était là, ma grand mère, mes cousines et mes copines aussi. La musique Bretonne pour l’entrée sur le plateau de compétition.. Bref, l’ambiance était géniale et cela reste inoubliable pour moi. »

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Mélina a jonglé entre les études et le sport en gagnant d’ailleurs le titre lors de la demi finale nationale et obtenant par la même occasion son ticket pour la finale au mois de mai à Montbéliard en tant que prétendante au podium Nationale. Malheureusement cette gymnaste qui a commencé la gym afin de suivre les pas de sa grand mère et sa mère aurait imaginée les choses autrement.

« Je garde un mauvais souvenir de cette compétition. Je rêvais d’être sur le podium, mais trop de stress que je n’ai pas réussi à contrôler. 3 jours avant le départ, je me fais mal au genou lors d’une chute en poutre sûrement due à la pression que je me mets toute seule.. ce qui a rendu ma participation incertaine jusqu’au dernier moment. J’ai eu de la chance de pouvoir finalement prendre part à la compétition mais toujours pas dans le bon état d’esprit. Je chute 2 fois à la poutre dès le 1er agrès, je savais donc que ça m’éloignait du podium. C’est dur de continuer la compète après ça. Je me refais mal au genoux à l’agrès qui suit.. j’ai fini la compétition en larmes et en boitant. J’étais vraiment déçue de ma prestation. »

Un souvenir que Melina va tenter d’oublier avec malgré tout la conscience que ce sont de ses erreurs qu’elle avance et grandit. La tête sur les épaules elle tourne déjà son regard vers la saison à venir. « J’hésite encore, mais je pense continuer la gym la saison prochaine. Il manque une seule médaille à ma collection je la veux ! »

Cette médaille serait aussi pour cette athlète la récompense de plusieurs années de travail entre bonheur et sacrifices. Elle ajoute que malgré la dureté de ce sport, cela reste le plus beau. « J’ai eu la chance de m’entraîner aux côtés des meilleures gymnastes du pays et je pense que c’est aussi ça qui m’a beaucoup aidé. Le sport m’a permis de créer des liens très forts avec mes copines d’entraînement qui viennent d’un peu partout, Toulon, Paris, Nice ou encore la L’île de la Réunion. »

Avec comme modèle Larisa Iordache, Mélina préfère le sol aux barres et avoue ne pas vouloir devenir entraîneur, car trop difficile. La passion reste le maître mot. Une école et la vie que Melina n’est pas prête d’oublier.

Propos recueillis par M. Leroy

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Rencontre avec une jeune passionnée !

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Elle s’appelle Camille, elle a 15 ans et pratique la gymnastique artistique depuis maintenant 7 ans. C’est un sport qui demande une force à la fois physique et mentale. Le mental est très important pour les compétitions. A partir d’un certain niveau, on a du mal à se repérer dans l’espace lorsque l’on effectue certaines accro, on arrive à se repérer au bout d’un certain temps de travail.

« J’ai un niveau fédéral, et dans notre club nous aimerions bien être qualifié aux championnat de France cette année. »

Chaque entraînement démarre par un échauffement articulaire, puis par du gainage. Des exercices d’alignement et de propreté jambes sont également au programme. Les agrès changent selon les jours. A chaque fois, tous les éléments présentés en compétition sont travaillés dont 3 complets sans chute obligatoire. L’entraînement se termine par de la musculation (jambes, bras, abdos, ou général) et enfin étirements.

« Pour moi ce serait d’améliorer mes résultats individuels en compétition et réussir de nouveaux éléments. Si je change d’équipe et que je passe donc dans la première, j’aimerais qu’on se qualifie aux championnats de France que ce soit pour nous, le club ou ma coach ce serait génial ! »

Le sol est son agrès de prédilection. « J’adore le sol, le sensation de voler quand on fait des salto ou des vrilles. La manière d’anticiper toutes ses réceptions, et de faire les choses dans l’ordre, une erreur en entraînant une autre.. J’aime également nos mouvements, nos choré et les musiques que nous choisissons. Réussir à enchaîner tout un mouvement de 1 minutes 30 sans s’arrêter et en se donnant au maximum c’est ce qui me plait« 

Souhaitons le meilleur à Camille pour la suite et le plein de réussite dans ses projets. Merci pour sa disponibilité.

Dimitri V.

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Rencontre avec une athlète hors du commun

Elle s’appelle Nolwen et est âgée de 19 ans. Cette jeune gymnaste a débuté la gymnastique à l’âge de 5 ans au club de la Cambronnaise à Saint-Sébastien-sur-Loire. Pour elle, la gymnastique est une discipline où il faut être à la fois acrobatique, explosive et gracieuse. C’est un sport qui demande beaucoup de patience et de persévérance.

Tout bon entraînement commence par un bon échauffement (course, musculation et étirements). Une blessure importante au genou a contraint Nolwen d’arrêter la compétition pendant 9 mois. Coup dur donc pour cette jeune femme pleine de ressources.

Nolwen espère pouvoir récupérer rapidement pour atteindre ses objectifs. Elle nous confie que la partie artistique et notamment les chorégraphies sont très importantes lors des notes finales dans les compétitions. Les chorégraphies lui permet de bouger et ainsi s’exprimer.

En dehors de la gymnastique, elle aime passer du temps avec sa famille et ses amis.

Souhaitons le meilleur à Nolwen, qui n’a envie que d’une seule chose : soigner sa blessure pour revenir au top le plus vite possible !

Dimitri V.

 

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Jordane Banasik, la passion jusqu’au bout

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Je m’appelle Jordane Banasik je suis âgée de 14 ans je fais de la gymnastique artistique depuis 8 ans, je m’entraîne au Club Athlétique Fumacien dans les Ardennes. Je suis en 3ème, à l’âge de 6 ans j’ai tout suite compris que la gymnastique était un sport pour moi, les différentes sensations la gymnastique est un sport dynamique, et elle nous apprend à jamais baisser les bras car ce n’est pas toujours tout rose.

Un entraînement type c’est bien s’échauffer, avec de la musculation des écarts de la souplesse pour ne pas se blesser car les blessures arrivent tellement vite. Ensuite, on monte sur les agrès, on travaille nos éléments avant de montrer un complet. Et pour finir l’entraînement bien s’étirer.

Parfois, il faut savoir penser à autre chose qu’à la compétition, c’est pourquoi, en dehors de la gymnastique, j’aime beaucoup danser (du jazz). Le fait de danser m’aide énormément pour les exercices au sol. Le shopping fait aussi partie de mes activités favorites.

Mon objectif principal cette saison est de retour aux championnats de France sans commettre d’erreurs. Lors de mes premiers championnats de France, le stress était présent. A cause de ce stress, j’ai loupé mes sauts et obtenu la note de 0, ce qui m’a totalement découragé. J’ai même voulu abandonné mais la passion pour la gymnastique était plus forte, je me devais de continuer ! La gymnastique m’a tellement appris à ne jamais baisser les bras que je suis revenue avec de l’ambition.

Souhaitons à Jordane de réaliser ses rêves et d’atteindre ses objectifs. La gymnastique est un sport où le dépassement de soi est primordial.

Dimitri V.

 

 

 

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Léa Marques Amaral, du trampoline à la gym

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Retraçons ensemble le parcours d’une jeune gymnaste qui a d’abord commencé par le trampoline puis s’est tournée rapidement vers la gymnastique.

Je m’appelle Léa Marques Amaral, j’ai 18 ans et je suis en première année à la faculté de sport à Clermont Ferrand. J’ai d’abord commencé par le trampoline puis par la gymnastique rythmique, mais il me manquait l’acrobatie que j’ai trouvé dans la gymnastique artistique que je pratique depuis 11 ans maintenant. Dans cette discipline, il faut être à la fois gracieuse et explosive, les exercices demande de la force et de la souplesse. Il y a 4 agrès, la poutre qui demande beaucoup d’équilibre, le saut de cheval est son impulsion, la barre avec son élégance et sa technique et le sol avec sa chorégraphie et sa légèreté. Chacun de ces 4 agrès exige un long réglage ainsi qu’une coordination des éléments pour composer des mouvements à présenter en compétition.

Mon objectif pour cette saison est de refaire un podium en championnat de France en catégorie national.

J’aime beaucoup faire du shopping ainsi que de passer du temps avec ma famille et mes amies. J’aime la mode car elle se renouvelle perpétuellement, j’aime le changement, mais je ne veux pas en faire mon métier.

La gymnastique, une véritable passion pour Léa. Prenons le temps de la remercier pour sa disponibilité et sa gentillesse.

La rédaction

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Rencontre avec Sophie Harschene

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Notre tour d’horizon de la gymnastique se termine avec la rencontre d’une jeune gymnaste nommée Sophie Harschene. Voici son histoire.

Sophie Harschene :

Bonjour, je m’appelle Sophie Harschene et j’ai 18 ans (19 ans le 27 décembre). J’habite dans la région namuroise et je fais mes études en science politique à l’Université de Namur. Je pratique la gymnastique depuis l’âge de 4 ans et je ne fais aucun autre sport mis à part de la course et de la natation lorsque j’ai le temps. A l’âge de 13 ans, j’ai décidé de partir en sport-études à Charleroi pour pratiquer la gymnastique et en faire à raison de 20h à 25h par semaine. Mais en octobre 2015, une douleur au dos se fait ressentir et je suis contrainte d’arrêter temporairement les entrainements. Après plusieurs examens médicaux, le résultat n’était pas bon du tout, j’ai donc dû arrêter totalement la gymnastique. Après deux ans de repos et n’ayant plus aucune douleur, je décide de retourner au club pour voir si une reprise de l’entrainement est possible. La réponse a été positive et c’est ainsi que j’ai repris l’entrainement il y a maintenant presque deux ans.

La gymnastique allie le sol, le saut, les barres asymétriques et la poutre. Lors des compétitions, chaque gymnaste doit présenter les 4 agrès dans l’ordre qui lui est imposé. La gymnastique est un sport très exigent et complet. La gymnaste doit avoir de la force, de la souplesse et du dynamisme mais elle doit aussi être rigoureuse dans son travail aux différents agrès.

DSCMH : Quel est pour vous, un entraînement type ?

S.H. : Pour commencer, je dis bonjour à chaque entraineur en entrant dans la salle et je m’étire. Quand mon entraineur nous appelle, nous nous mettons en ligne et nous saluons pour commencer l’échauffement. Faire un bon échauffement est primordial. Sans cela, le risque de blessure augmente. Ensuite, à chaque agrès je m’échauffe avant de réaliser mes exercices et mes complets de compétitions. Je fais une petite pause entre chaque agrès pour m’hydrater. Après les quatre agrès, je m’étire un bon quart d’heure, je dis au revoir aux entraineurs, ensuite je vais à la douche.

DSCMH : Quel est votre agrès préféré et pourquoi ?

S.H. : Mon agrès préféré est le sol. Je suis quelqu’un de très dynamique et j’ai beaucoup de puissance dans les jambes ce qui rend mes mouvements plus faciles. D’ailleurs quelques coéquipières m’ont souvent enviées. Ce que j’aime lorsque je suis sur cet agrès, c’est la sensation de m’envoler et de me sentir libre. Je ne pense plus à rien, je me concentre sur mes diagonales et j’essaye de dépasser mes limites.

DSCMH : Pourquoi avoir choisi la gymnastique plutôt qu’un autre sport ?

S.H. : En fait, ma grande sœur pratiquait la gymnastique depuis quelques années et allait chaque semaine à l’entrainement à raison de deux fois par semaine (mercredi et vendredi). Mes parents voulaient que je commence un sport et par question de facilité, ils m’ont inscrit au même club qu’elle. J’avais donc 4 ans lorsque j’ai commencé la gymnastique. Au fil du temps, je me suis perfectionnée et j’ai donc décidé de partir m’entrainer au Gymnos de Charleroi en sport-études comme dit plus haut. Mon amour pour la gymnastique n’a fait qu’augmenter d’année en année et c’est pourquoi, lorsqu’une occasion se présente, j’assiste à des compétitions internationales telles que les championnats du Monde ou encore le Top Gym de Charleroi qui se tient chaque année à côté de ma salle d’entrainement.

DSCMH : Que peut-on vous souhaiter pour la suite ?

S.H. : J’aimerais reprendre les compétitions et ainsi perfectionner certains mouvements et en apprendre d’autres pour, je l’espère, monter de division. Au niveau scolaire, je compte aussi réussir mes études.

Cette interview est maintenant terminée, nous tenions à remercier Sophie pour sa disponibilité et sa gentillesse. Grâce à ces nombreuses rencontres, la gymnastique est désormais une discipline moins méconnue, du moins pour le magazine DSCMH.

Dimitri V.

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Clara Bosom, gym un jour, gym toujours !

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DSCMH : Bonjour Clara, présentez-vous et présentez votre discipline s’il vous plait ?

Clara Bosom : Je m’appelle Clara Bosom je suis âgée de 17 ans. Je fais de la gymnastique artistique depuis que j’ai 4 ans, après avoir essayé plusieurs sports j’ai accroché à la gymnastique parce que c’est un sport dynamique. Je suis rentrée en centre régional à Sète à l’âge de 8 ans j’y suis restée jusqu’à mes 10 ans où je suis partie au pôle France de Marseille j’y suis rester 2 ans et je suis retournée après sur Sète. Pour moi, la gymnastique est un sport qui demande beaucoup de travailler et beaucoup de qualités. La gymnastique apporte beaucoup dans la vie car ça forge le caractère ça t’apprend à ne jamais baisser les bras, être autonome et surtout savoir rester dans ce que l’on fait sans se disperser.

DSCMH : Quels sont vos objectifs pour la saison ?

C.B. : Mon objectif principal était de refaire un podium au championnat de France mais je me suis blessée lors d’un entraînement au mois d’octobre donc saison blanche.

DSCMH : Avez-vous d’autres passions en dehors de la gymnastique ?

C.B. : En dehors de la gymnastique, j’aime beaucoup le chant et la danse et plus particulièrement le modern jazz.

DSCMH : Que peut-on vous souhaiter pour la suite ?

C.B. : Pour moi, évidemment, éviter une nouvelle blessure et ainsi espérer un podium.

Nous tenons à remercier Clara pour sa disponibilité. Cet entretien prouve encore combien la gymnastique est importante à ses yeux et mérite que l’on y attache de l’importance.

La rédaction

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Focus sur une discipline encore méconnue

Grâce à plusieurs témoignages de différents athlètes, nous allons vous présenter une discipline encore méconnue mais beaucoup pratiquée. Il s’agit de la gymnastique.

La gymnastique se pratique sur 4 agrès (le saut, les barres, la poutre et le sol). C’est plus qu’une passion, c’est devenu un mode de vie. Il s’agit d’un sport difficile qui demande énormément de concentration, de volonté et de courage. Il faut beaucoup d’heure d’entraînement pour essayer de réussir le mieux possible les mouvements. Mais malgré les figures que font notre corps, il faut que la tête suivent c’est le plus important. Le mental est la chose essentielle.

Beaucoup de gymnastes confient avoir peur de se blesser avant des compétitions importantes et nombreuses sont celles qui espèrent se qualifier pour les championnats de France et ainsi ramener une médaille en montant sur le podium.

La gymnastique n’est pas qu’une question de performance. C’est aussi un sport où le côté esthétique compte et notamment lors de grandes compétitions. Certains athlètes oublient même la gymnastique un instant pour s’adonner à leurs passions (musique, cinéma ou encore lecture), alors que d’autres ne se concentrent que sur cette discipline pour espérer atteindre le plus haut niveau.

Une chose est sûre, qu’elle soit artistique ou rythmique, la gymnastique est une discipline digne d’intérêt en pleine expansion et qui n’a pas fini de se développer.

Dimitri V.

[SPORT – GYMNASTIQUE] : Laurie De Mavaleix, la gymnastique dans la peau

Nouvelle rencontre avec une jeune athlète pétrie de talent qui ne cesse de progresser dans son domaine. Portrait !

DSCMH : Pouvez-vous vous présenter et présenter votre discipline ?

Laurie De Mavaleix : Je m’appelle Laurie et j’ai 15 ans, je suis gymnaste au pôle France aérobic à Aix les bains et je suis en 2nd général. Je pratique la gymnastique aérobic sportive, c’est un sport qui consiste à faire des difficultés, des portées et une chorée sur une musique accélérer sur du parquet.

DSCMH : Quel est pour vous, un entraînement type ?

L.D.M : Un entrainement type pour moi c’est un créneau musculation, un créneau cardio, un créneau pour les difficultés, un autre pour la chorée ou encore la souplesse et des fois des complet ou des préparations spécifiques. Le tout réparti dans la semaine.

DSCMH : Quels sont vos objectifs pour la saison à venir ?

L.D.M : Je suis en équipe de France et je prépare actuellement les championnat d’Europe en groupe à Elvas en novembre prochain, pour prochain objectif sinon je dirais une qualification au championnat du monde en juin 2016

Dimitri V.