[MUSIQUE – RENCONTRE] : Marie Menini, zoom sur une jeune chanteuse de talent

Rencontre avec Marie Menini une jeune artiste de talent. Suivez le guide !

DSCMH : Présentez-vous et présentez votre passion ?

Marie Menini : Je m’appelle Marie Menini. Je suis chanteuse. Je suis passionnée de musique depuis toujours. Enfant déjà, j’adorais chanter. Je me suis mise très tôt à étudier la musique et à prendre des cours de chant avec des professeurs d’horizons très divers (lyrique, variété, soul et gospel) pendant plusieurs années. Et j’ai commencé à écrire et à composer mes propres chansons il y a 5 ans.

DSCMH : Quelles sont vos influences ?

M.M : Mes influences sont très diverses. Lorsque j’étais enfant, mes parents écoutaient sans concession tous les artistes de la variété française (Daho, Souchon, Polnareff, Il Était Une Fois, etc.), mais aussi des groupes mythiques comme Pink Floyd ou Dire Straits. Personnellement, enfant, j’étais fascinée par Mylène Farmer. J’ai aussi passé mon adolescence à travers le phénomène des girls & boysbands, tout en découvrant les groupes de rock que les plus grands écoutaient, comme Oasis ou les Red Hot. J’aimais aussi beaucoup tomber sur du Kate Bush ou Aretha Franklin à la radio. Puis, je me suis intéressée à la voix, et j’ai découvert le classique, la soul et le gospel.

DSCMH : Décrivez le style de musique que vous faites et expliquez pourquoi avoir fait ce choix ?

M.M : L’EP que j’ai sorti en 2014 est résolument pop-rock. On dit souvent que c’est une catégorie « fourre-tout », mais en même temps je n’aurais pu me résoudre à n’être que pop ou que rock. Je n’ai pas vraiment fait ce choix en fait. Ce qui m’intéresse dans la création de mes chansons, c’est d’écrire en français (d’honorer nos auteurs et poètes) et de servir la mélodie. D’ailleurs, je travaille actuellement sur un nouveau live avec un nouveau groupe de musiciens. Nous avons réarrangé mes morceaux pour leur donner parfois des teintes un peu plus blues ou rock’n’roll. Finalement, tout est possible en musique. Mais les mots, eux, restent les mêmes. D’ailleurs, j’invite chaleureusement tous les lecteurs de Magazine DSCMH à mon concert le 24 novembre, au Chat Noir à Paris ! Toutes les infos sont sur ma page Facebook.

DSCMH : Avez-vous comme objectif de réaliser un album ou est-ce uniquement pour le plaisir ?

M.M : Les deux ! Si un artiste n’a pas de plaisir à réaliser une œuvre, c’est qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. L’industrie de la musique fait peur, c’est très stressant. Lorsqu’on rêve d’atteindre un but dans ce milieu, on peut se retrouver confronté à une peur de l’échec. C’est humain. Mais en tant qu’artiste, il faut savoir se rappeler ce qui rend notre vie si précieuse, si unique : cette liberté que nous nous offrons. Ce sentiment de liberté, c’est la seule chose qui peut nous donner du plaisir, voire nous rendre heureux.

DSCMH : Vous reprenez uniquement les chansons des autres ou vous avez, vous aussi des compositions ?

M.M : C’est plutôt l’inverse. Mais il m’arrive aussi de reprendre des chansons que j’aime tout particulièrement comme « Video Games » de Lana del Rey par exemple ou de reprendre des morceaux d’artistes très différents de mon univers. Je trouve cet exercice très amusant et créatif. J’ai dernièrement adapté « Changer » de Maître Gims. Vous pouvez l’écouter sur ma chaîne Youtube : https://youtu.be/4Jx4MosUR84

DSCMH : Avez-vous d’autres passions en dehors de la musique (cinéma, sport, télévision) ?

M.M : J’aime énormément cuisiner, surtout les plats en sauces et les marinades. J’écris aussi beaucoup ; des poèmes surtout et parfois de courtes nouvelles. Dès que je le peux, je voyage aussi.

DSCMH : Enfin, quels sont vos projets pour la suite et que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ?

M.M : Je n’ai pas de projets à proprement parler. Je dédie ma vie de tous les jours à la musique. Je veux continuer à faire vivre mes chansons, et j’espère jouer sur scène autant que possible et évidemment générer des revenus avec mes créations. Pourquoi pas faire un recueil de mes poèmes aussi ? Jusqu’à présent, ils dorment dans mes cahiers dans le plus grand secret…

Dimitri V.

[MUSIQUE – CONCERTS – Festival Jazz In Marciac] : Robin McKelle et Zaz illuminent Marciac

Marciac, le mercredi 12 août 2015

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Il est aux alentours de 21h15 lorsque Robin McKelle & The Flytones foulent la scène du chapiteau de Marciac. Pour cette édition 2015 du Festival Jazz In Marciac, le public a découvert une bête de scène.

Une voix prochaine de celle de Tina Turner, Robin McKelle enchaîne les morceaux avec une énergie débordante. Accompagnée par des musiciens de génie, la chanteuse originaire de Rochester aux États-Unis mélange à la perfection le blues, le jazz et la soul.

Extrait du concert de Robin McKelle à Marciac

Après plus d’une heure et demie sur scène, la chanteuse américaine a cédé sa place à la non moins connue Zaz, qui s’était déplacée à Marciac à l’occasion de la sortie de son dernier album de reprises consacré à la ville de Paris, album produit par un certain Quincy Jones.

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Zaz respire la bonne humeur, elle mêle rythmes endiablés et chansons plus posées. Après avoir interprété les chansons extraites de cet album de reprises, on retrouve une Zaz plus traditionnelle et toujours aussi énergique sur scène. L’interprétation du titre phare qui l’a révélé témoigne de leur l’amour que lui porte son public. C’est au son de « Je veux » que le public décide de la suivre et de se lever ! Ambiance de folie dans cette fournaise. Pas moins de 35° dans l’enceinte du chapiteau.

Zaz termine en trombe son concert et conclue de bien belle manière une soirée musicale plus que réussie avec la présence de deux très grandes artistes ce mercredi soir à Marciac. Une seule chose à rajouter pour conclure : « A l’année prochaine ! ».

Dimitri V.

[MUSIQUE – CONCERT] : Ryon fait chanter Salies de Béarn au son du reggae

Salies de Béarn, le dimanche 9 août 2015

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Il est 21h30 lorsque les cinq membres du groupe de reggae pyrénéen Ryon décide de monter sur scène. Entre compositions et reprises, le groupe fait chanter le public de Salies de Béarn, venu pour l’occasion. Des textes engagés et interprétés avec énergie par Cam, chanteur à la voix mélodieuse.

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Les rythmes et les mélodies qui accompagnent les paroles collent et créent une osmose parfaite. Au bout d’une heure, Ryon décider d’entonner quelques reprises du maître incontesté du reggae : Monsieur Bob Marley. Le public répond alors présent et suit le mouvement.

Encore une soirée réussie pour un groupe désireux de se faire connaître et de percer dans ce milieu. Longue vie au reggae et longue vie à Ryon !

Dimitri V.

[MUSIQUE – BUZZ] : Le trio français L.E.J revisite les tubes de l’été 2015 !

Depuis une semaine un trio français revisite les tubes qui ont marqué l’été 2015. L.E.J (acronyme pour Lucie, Elisa & Juliette) ont décidé de s’attaquer à du lourd. Dans cette vidéo longue de plus de 3 minutes, on peut entendre « Freedom » de Pharrell Williams, « Lean On » de Major Lazer ou encore « Cheerleader » de OMI.

Postée le 1 août 2015 sur YouTube, la vidéo fait le buzz et est visionnée dans le monde entier. Elle a même atteint un chiffre record de plus de 3 millions de vues en une semaine. Fantastique aventure pour un groupe qui ne demande qu’à se faire connaître. Si vous ne l’avez pas encore écouté, voici la vidéo qui fait tant parler sur la Toile :

L.E.J – SUMMER 2015

Une chose est sûre, l’été est loin d’être terminé et la carrière de ce trio ne fait que commencer.

Pour plus d’informations sur le groupe L.E.J, rendez-vous sur leur page Facebook : Lucie Elisa & Juliette

Dimitri V.